PacisLexis Family Law

Marie-Camille de Polignac

Nous contacter

Nous n’acceptons pas l’aide juridictionnelle

Marie-Camille DE POLIGNAC

 

Avocate au Barreau de New-York
Droit de la famille et droit international de la famille

Juriste droit français droit pénal de la famille et droit de la famille

– New-York State Bar

– Master II en droit des affaires franco-américain à l’Université Paris X Nanterre

– Masters of Law à la Benjamin N. Cardozo School of Law à New-York

– Mémoire sur les violences éducatives ordinaires

– Double cursus droit français – Common Law

– Pragmatique, bienveillante et devant la série « Friends » à ses heures perdues

 

J’ai toujours apprécié les règles, les débats, mais également le contact humain. En 2014, alors que j’assiste depuis les bancs du public à ma première audience, je décide irrémédiablement que les métiers du droit sont faits pour moi.

Des attaches familiales me conduisent à étudier le droit américain en parallèle du droit français et à envisager une carrière aux Etats-Unis.

En 2018, durant un stage au Texas, je découvre auprès d’une District Attorney (procureur) la répression pénale des violences sexuelles et physiques intrafamiliales.

Je réalise que le droit de la famille et le droit pénal de la famille sont des droits qui ont pour but de préserver, de protéger et d’empêcher que les victimes deviennent auteurs à leur tour.

Je mesure alors, autant que mon jeune âge me le permet à l’époque, l’impact de ces violences sur les victimes, surtout lorsqu’il s’agit de jeunes enfants, ou de personnes vulnérables.

Je suis confrontée aux travers des violences conjugales, souvent honteusement dissimulées par les plus innocents, niées par l’entourage et le cercle familial et banalisées par les gouvernements et les forces de l’ordre. Je prends conscience de la notion d’emprise, de combien il est difficile de briser le cercle vicieux des violences, de combien faire appel à un cabinet d’avocat est une démarche courageuse mais nécessaire.

Je suis convaincue de l’importance du contact humain et de l’accompagnement des victimes, dans l’intime, dans la honte des violences qu’elles ont subies sans en être responsables. Je réalise également le caractère essentiel de l’écoute, de la patience, de l’absence de jugement. Ce sont des principes que j’applique aujourd’hui dans ma pratique du droit, avec chaque personne ou famille que j’ai l’occasion d’accompagner.

Dans mon cursus à l’université Paris X, seul le Master Droit des affaires m’offre la possibilité d’un échange avec les Etats-Unis ; je m’inscris donc dans ce cursus, alors que je sais déjà que je souhaite exercer en droit des personnes, en droit humain.

Enfin libre de choisir mes matières pendant mon année de Master à New-York, j’étudie le droit de la famille, les violences conjugales, la maltraitance des enfants. Je supplie mon directeur de mémoire de me laisser changer du pôle « affaires » au pôle « personnes » et je rédige mon mémoire en droit comparé sur les violences éducatives ordinaires, que j’intitule de manière ironique et provocatrice « Tu ne l’as pas volée celle-là ».

À New-York, en parallèle de mes études, j’exerce au sein de l’association Sanctuary For Families qui accompagne gratuitement les victimes de violences conjugales en situation précaire dans leurs procédures civiles et pénales.

Finalement trop attachée à ma terre natale et au droit français pour la vie d’expatriée, je rentre en France en 2020, en pleine pandémie qui a provoqué l’annulation du barreau de New-York que je devais présenter. J’ai toujours pour projet de devenir avocate et d’obtenir le barreau dans les deux pays.

J’ai depuis exercé en juridiction, au pôle pénal et au pôle famille où j’étais notamment chargée d’analyser les dossiers ainsi que de préparer la rédaction des jugements de divorce et des homologations d’accords parentaux sous la supervision directe d’un juge.

J’ai appris dans le cadre de ces expériences à analyser des conclusions d’avocats, à rédiger des jugements, et à comprendre le raisonnement des magistrats. J’utilise aujourd’hui ces compétences pour défendre au mieux les intérêts des clients du cabinet PacisLexis Family Law, en adaptant précisément la stratégie de défense, tant sur le fond que sur la forme, aux attentes des juges.

Je suis aujourd’hui heureuse de faire partie du cabinet PacisLexis Family Law en tant que juriste et de consolider ma formation avant de devenir avocate. Il s’agit d’un cabinet humain, bienveillant, composé d’une équipe dévouée et à l’écoute, dont les compétences sont aussi diverses que les profils.

Nous serons à vos côtés, sans vous juger, dans toutes les épreuves qu’implique une procédure relative au droit de la famille ou au droit pénal de la famille.

  • humaniste
  • Dévouée
  • Patience

PacisLexis Family Law

NOS CLIENTS TÉMOIGNENT

Nos derniers articles en Droit de la famille

Divorce pour faute

Divorce pour faute

Définition du divorce pour faute

Le divorce pour faute est un cas de divorce judiciaire régi par les articles 242 à 246 du Code civil. Il permet de divorcer en cas de violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage rendant intolérable le maintien de la vie commune (article 242 du Code civil).

Les fautes principales sont l’adultère, l’abandon du domicile conjugal, les violences et l’absence de soutien durant une période difficile.

Il est possible d’obtenir :

– Un divorce pour faute lorsqu’un seul époux a commis une faute,

– Un divorce aux torts partagés lorsque les deux époux ont commis des fautes.

La procédure de divorce

La procédure de divorce

Une étude réalisée par l’INSEE met en avant une hausse du taux de couples divorcés. Si le taux de divorce était de 10 % en 1970, il a atteint 52 % en 2005 pour redescendre à 44 % en 2014. Plus le mariage est ancien, plus la probabilité́ du divorce diminue.

Il existe plusieurs types de divorce. Le choix des époux peut s’avérer complexe, d’où l’importance de connaître vos droits et obligations.

Les mères porteuses (GPA)

Les mères porteuses (GPA)

La gestation pour autrui (GPA) est un contrat qui unie une femme, communément désignée par le terme de « mère porteuse », et un couple de « parents d’intention ».

La gestation pour autrui permet à un couple d’avoir recours à une femme qui porte un enfant pour leur compte. La mère porteuse remet ensuite l’enfant aux parents d’intention dès la naissance de l’enfant.