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Héloïse KAWAISHI

 

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Héloïse KAWAISHI

Droit de la famille et du patrimoine

Humaniste, visionnaire, navigatrice.

  • Certificat d’aptitude à la profession d’avocat
  • Exercice principal à l’étranger (R.E.L.) Londres pendant cinq années
  • Formation au Center of Effective Dispute Resolution (C.E.D.R.)
  • Diplôme de médiateur à l’Institut de Formation à la Médiation et à la négociation (IFOMENE)
  • Master 2 En Droit des Affaires franco-anglais à l’Université Paris Saclay

 

Chers clients,

Aider son prochain, l’aimer comme soi-même, faire du vers de Victor Hugo « Insensé, qui crois que je ne suis pas toi » le guide dans mes relations humaines. Toutes les cultures proclament la responsabilité que nous avons à l’égard de nos prochains. Je suis de celles qui éprouvent ce devoir de conscience.

 

En ce XXIème siècle, peu de professions s’engagent dans leur vie de travail par un serment : « Je jure, comme avocat, d’exercer mes fonctions avec dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ». Ce serment me sert de guide tous les jours dans ma vie professionnelle car il est en harmonie avec l’éducation que j’ai reçue, et les valeurs qui sont les miennes.

 

Je suis une femme de mon temps à la recherche d’un équilibre entre ma vie personnelle et ma vie professionnelle. Dans une profession libérale, cet équilibre est peut-être encore plus difficile à trouver.

 

Voilà bientôt dix ans que j’exerce ma profession d’avocat. Dix ans d’attachement passionné à un métier dont la profondeur me comble chaque jour. Dix ans de labeur, dix ans de perfectionnement, une exigence toujours renouvelée pour soi-même. L’avocat doit toujours être en phase avec l’immédiateté du monde contemporain. Le droit ne s’arrête jamais d’évoluer, pas plus que la société. Cette mouvance perpétuelle du temps nous oblige à être un expert juridique qui ne se repose jamais sur ses lauriers. Chaque année, les nouveaux Codes et les nouveaux jugements font vivre le droit avec des ajustements constants. C’est la responsabilité de l’avocat que de se tenir informé des évolutions juridiques.

 

L’avocat n’est pas simplement un juriste. Il peut être tour à tour chef d’entreprise, influenceur, marketeur, professeur pour comprendre le client dont il ne doit jamais trahir la confiance. L’avocat regarde également vers l’avenir. Il ne peut ignorer le futur. Il regarde les métiers de demain et se sert des évolutions techniques pour créer les futures Legaltechs. Chacun comprend facilement que le métier d’avocat ne laisse pas beaucoup de temps de loisirs.

 

Mes clients ont hâte d’obtenir des réponses immédiates à ce qui les bouleverse. Or, la justice ne se hâte que lentement. Là réside la tension du métier d’avocat entre deux temporalités. L’avocat a une obligation de moyens, mais ne peut jamais garantir le résultat d’un jugement. La tension n’est pas seulement celle de l’impatience du client. Elle provient aussi de l’incertitude de la décision rendue. Le juge a une marge d’appréciation qui peut satisfaire ou décevoir le justiciable. L’avocat est parfois aussi peiné que le client lorsqu’une décision est défavorable.

 

J’ai poursuivi mes efforts de recherche après ma prestation de serment. Pour conforter mon expérience à l’échelle internationale, j’ai exercé pendant près de cinq ans à Londres en tant que Registered European Lawyer. J’ai acquis une expérience en droit international privé de la famille. L’expérience londonienne m’a ouverte sur le droit anglo-saxon. Tout en exerçant à Londres en tant qu’avocate, je me suis formée à la médiation à l’IFOMENE (Institut de formation à la médiation à et à la négociation à l’Institut catholique de Paris) et au CEDR (Center of effective dispute resolution). Ces formations m’ont ouvert à une complexité humaine qui ne s’apprend pas sur les bancs de l’Université. L’enseignement de terrain a amplifié ma vision du droit.

 

En 2020 à Paris, j’ai créé mon cabinet fort de la confiance acquise par mes expériences diverses. Je me sentais désormais en mesure de défendre mes clients devant le Juge aux affaires familiales, le Juge des enfants et le Juge pénal. Les cas de justice sont aussi variés que la vie humaine. J’associe ma connaissance du droit à la connaissance des passions humaines pour venir en aide à mes clients.

 

Vous avez besoin que je prépare votre dossier avec le plus grand soin, que je trouve les arguments qui porteront devant le Juge aux affaires familiales, le Juge pour enfants, le juge pénal, ainsi que devant la Cour d’appel. Mon obsession est d’obtenir la meilleure décision possible par rapport à vos espérances et à votre situation.

 

Quand l’avocate que je suis retourne à son banc après avoir plaidé, quand je vous ai assisté de toutes mes forces, je sais que la décision pourra être injuste. Mais dans tous les cas, je continuerai à défendre, défendre, toujours défendre.

 

  • humaniste
  • Dévouée
  • Patience

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Divorce pour faute

Divorce pour faute

Définition du divorce pour faute

Le divorce pour faute est un cas de divorce judiciaire régi par les articles 242 à 246 du Code civil. Il permet de divorcer en cas de violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage rendant intolérable le maintien de la vie commune (article 242 du Code civil).

Les fautes principales sont l’adultère, l’abandon du domicile conjugal, les violences et l’absence de soutien durant une période difficile.

Il est possible d’obtenir :

– Un divorce pour faute lorsqu’un seul époux a commis une faute,

– Un divorce aux torts partagés lorsque les deux époux ont commis des fautes.

La procédure de divorce

La procédure de divorce

Une étude réalisée par l’INSEE met en avant une hausse du taux de couples divorcés. Si le taux de divorce était de 10 % en 1970, il a atteint 52 % en 2005 pour redescendre à 44 % en 2014. Plus le mariage est ancien, plus la probabilité́ du divorce diminue.

Il existe plusieurs types de divorce. Le choix des époux peut s’avérer complexe, d’où l’importance de connaître vos droits et obligations.

L’assistance éducative

L’assistance éducative

En droit français, l’assistance éducative est une procédure conduite par le juge des enfants à des fins de protection d’un enfant mineur lorsqu’il a été établi l’existence d’un danger au sein de sa cellule familiale. L’ordonnance rendue par le juge des enfants est valable pour une durée maximale de deux ans.

La procédure d’assistance éducative est prévue par les articles 375 à 375-9 du code civil.